L'institution
Tribunes des groupes politiques
Mise à jour le 16/02/2023

Retrouvez ici toutes les tribunes des groupes politiques
Groupe Changer Paris
Les trottinettes à Paris, une nouvelle démission de la Mairie de Paris !
Après avoir organisé le chaos dans l’espace public parisien, sur la base d’une réflexion inaboutie et d’une doctrine dictée par la frange extrémiste de sa majorité, la Mairie de Paris a décidé une votation en avril sur le maintien des trottinettes en libre-service.
C’est la première fois qu’une telle consultation est organisée, hors de tout cadre légal, et l’on aurait pu imaginer que cet outil de démocratie participative soit utilisé pour un sujet plus structurant que celui des micromobilités décarbonées, tel que le réaménagement de l’axe Tour‐Eiffel/Trocadéro, la construction de la tour Triangle, la révision en cours du Plan Local d’Urbanisme et du Plan Climat, la police municipale ou encore le plan de circulation. La Maire de Paris semble prise de vertige à l’idée de trancher, alors même que, tout en posant la question aux Parisiens, elle leur fait part de sa propre opinion, biaisant ainsi leur choix. Il y a donc fort à parier que le résultat final s’alignera sur le choix de la Maire, Paris allant dans ce cas à rebours de la pratique observée dans les grandes villes du monde, ce qui pose la question de l’intérêt de dépenser de l’argent et de perdre du temps pour un référendum dont le résultat est couru d’avance…
Le problème des 15.000 trottinettes parisiennes opérées par les trois sociétés privées Lime, Dott et Tier n’est pourtant pas nouveau. Après en avoir fait la promotion, dès 2018, vantant ce nouveau moyen de transport non‐polluant et alternatif à la voiture, aux motos et aux transports en commun, puis tenté à partir de 2019 d’en encadrer l’utilisation (verbalisation, redevance pour les opérateurs, création de 2.500 places de stationnement…), la Maire de Paris souhaite désormais le voir interdire, après avoir constaté l’impossibilité de faire respecter les règles de sécurité les plus élémentaires par une part croissante des utilisateurs de ces engins en « free‐floating », causant l’an dernier près de 400 blessés. Mais que n’a-t-on pas imposé dès le début des contraintes à ces opérateurs en encadrant sévèrement leur circulation et leur stationnement et en s’assurant de la sécurité de leurs utilisateurs comme de celle des autres usagers de l’espace public ?
Par principe, nous privilégions la liberté, encadrée par des contraintes (dont l’immatriculation obligatoire, l’impossibilité de circuler à deux et de dépasser une certaine vitesse, l’interdiction de certains rues et places, le port du casque, etc), à l’interdiction, mais la situation actuelle exige désormais la remise à plat complète de la politique de mobilité parisienne et une réflexion sérieuse dans le cadre d’un débat démocratique assumé et non pas d’une votation en trompe‐l’œil destinée à dédouaner la Mairie de Paris d’une décision qu’elle sait désormais inéluctable.
Groupe Indépendants et Progressistes
Pour un service minimum d’accueil dans les écoles parisiennes les jours de grève
Depuis 2008, la loi oblige les communes à mettre en place un service minimum d’accueil (SMA) dans les écoles les jours de grève, dès lors que l’école compte 25 % d’enseignants grévistes. À Paris, cependant, ce service n’est pas garanti dans tous les établissements. Aujourd’hui les parents d’élèves parisiens doivent souvent s’organiser la veille pour le lendemain afin de trouver une solution de garde alternative. Le 7 février dernier par exemple, c’est 60 écoles parisiennes qui étaient fermées en raison de la grève de professeurs.
La Maire de Paris aurait dû mener depuis longtemps des négociations avec les partenaires sociaux afin de signer une convention assurant la continuité du service public. La Maire de Paris dispose également de la possibilité de fixer elle‐même, au travers d’une délibération au Conseil de Paris, le nombre d’agents indispensables afin d’établir une liste de personnes susceptibles d’assurer cet accueil. Cela passe évidemment par des mesures incitatives sur l’attractivité des postes afin de susciter le volontariat des agents.
La Ville doit aussi assurer la mise en place de formations renforcées pour les agents en charge de l’accueil des enfants les jours de grève afin qu’ils puissent bénéficier d’un accueil de qualité. Si Nantes, Bordeaux, Lille ou Marseille y sont arrivés, pourquoi Paris ne parvient toujours pas à appliquer la loi ? Dans un contexte de mouvements sociaux, la Maire de Paris doit être en mesure de garantir aux parents que leur enfant sera toujours accueilli à l’école.
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Rénovation du PLU et rénovation énergétique des logements
En fin d’année dernière, la concertation pour la construction du nouveau PLU bioclimatique de la Ville de Paris s’est achevée. Cette rénovation a été précédée de plusieurs phases de consultation avec les Parisiennes et les Parisiens. Lors de chaque étape les groupes politiques, ont également été écoutés et leurs propositions ont permis d’aider à l’élaboration d’un document permettant de construire la ville de demain. Ainsi comme l’indiquait Emmanuel Grégoire, le nouveau PLU sera un document plus proche de la réalité des permis de construire délivrés. Grâce à ce document nous pourrons passer d’une méthode de démolition/reconstruction à de nouveaux mécanismes innovants permettant une meilleure constructivité. L’exécutif parisien souhaite créer, dans le cadre du PLU, de nouveaux espaces verts permettant de poursuivre la végétalisation de la Ville. L’objectif de ce document cadre, en fixant les règles de construction et d’urbanisme, est d’être encore plus adapté aux enjeux environnementaux. Il s’inscrit par ailleurs dans le cadre de l’action portée par Anne Hidalgo et la majorité municipale de créer des logements accessibles à toutes et à tous.
Ainsi pour faire face à l’urgence sociale et permettre à chacune et à chacun de vivre à Paris, l’objectif de 40 % de logements publics en 2035 a été annoncé. Afin de l’atteindre, il a été proposé par les élu.e.s de gauche d’établir une règle de mixité fonctionnelle. Cette règle obligerait une part minimale d’habitations pour tous les projets de construction ou restructuration lourde. Ainsi, pour faire de Paris une ville tournée vers l’avenir et luttant contre le réchauffement climatique, le futur PLU bioclimatique aura pour objectif de concilier l’urgence climatique et l’urgence sociale.
Groupe Écologiste du 15e
Après le Lycée, l’école de nouveau mise à mal !
155 postes d’enseignant.es supprimés en maternelle et en élémentaire, 182 postes d’enseignant.es supprimés en collège et en lycée, Fermeture de 7 lycées professionnels dont le lycée Brassaï dans le 15e par décision de la région Ile‐de‐France, Suppression de 16 classes dans le 15e.
Au regard des enjeux majeurs de notre système éducatif, nous ne pouvons pas aborder la prochaine rentrée dans une logique purement comptable. Plutôt que de supprimer des classes, nous devons mieux répartir les élèves pour que chaque école puisse fonctionner avec de petits effectifs qui permettent un suivi plus individuel des élèves, d’intégrer davantage de soutien scolaire, de développer de nombreux projets culturels, sportifs, éco‐citoyens.
Au lieu de réduire drastiquement les dotations des collèges, il faut les maintenir pour encourager les efforts des équipes pédagogiques dans le soutien aux élèves en difficulté.
Soyez assuré.es de la mobilisation des élu.es écologistes pour construire un nouveau pacte éducatif à Paris !
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
Les trottinettes à Paris, une nouvelle démission de la Mairie de Paris !
Après avoir organisé le chaos dans l’espace public parisien, sur la base d’une réflexion inaboutie et d’une doctrine dictée par la frange extrémiste de sa majorité, la Mairie de Paris a décidé une votation en avril sur le maintien des trottinettes en libre-service.
C’est la première fois qu’une telle consultation est organisée, hors de tout cadre légal, et l’on aurait pu imaginer que cet outil de démocratie participative soit utilisé pour un sujet plus structurant que celui des micromobilités décarbonées, tel que le réaménagement de l’axe Tour‐Eiffel/Trocadéro, la construction de la tour Triangle, la révision en cours du Plan Local d’Urbanisme et du Plan Climat, la police municipale ou encore le plan de circulation. La Maire de Paris semble prise de vertige à l’idée de trancher, alors même que, tout en posant la question aux Parisiens, elle leur fait part de sa propre opinion, biaisant ainsi leur choix. Il y a donc fort à parier que le résultat final s’alignera sur le choix de la Maire, Paris allant dans ce cas à rebours de la pratique observée dans les grandes villes du monde, ce qui pose la question de l’intérêt de dépenser de l’argent et de perdre du temps pour un référendum dont le résultat est couru d’avance…
Le problème des 15.000 trottinettes parisiennes opérées par les trois sociétés privées Lime, Dott et Tier n’est pourtant pas nouveau. Après en avoir fait la promotion, dès 2018, vantant ce nouveau moyen de transport non‐polluant et alternatif à la voiture, aux motos et aux transports en commun, puis tenté à partir de 2019 d’en encadrer l’utilisation (verbalisation, redevance pour les opérateurs, création de 2.500 places de stationnement…), la Maire de Paris souhaite désormais le voir interdire, après avoir constaté l’impossibilité de faire respecter les règles de sécurité les plus élémentaires par une part croissante des utilisateurs de ces engins en « free‐floating », causant l’an dernier près de 400 blessés. Mais que n’a-t-on pas imposé dès le début des contraintes à ces opérateurs en encadrant sévèrement leur circulation et leur stationnement et en s’assurant de la sécurité de leurs utilisateurs comme de celle des autres usagers de l’espace public ?
Par principe, nous privilégions la liberté, encadrée par des contraintes (dont l’immatriculation obligatoire, l’impossibilité de circuler à deux et de dépasser une certaine vitesse, l’interdiction de certains rues et places, le port du casque, etc), à l’interdiction, mais la situation actuelle exige désormais la remise à plat complète de la politique de mobilité parisienne et une réflexion sérieuse dans le cadre d’un débat démocratique assumé et non pas d’une votation en trompe‐l’œil destinée à dédouaner la Mairie de Paris d’une décision qu’elle sait désormais inéluctable.
Groupe Indépendants et Progressistes
Pour un service minimum d’accueil dans les écoles parisiennes les jours de grève
Depuis 2008, la loi oblige les communes à mettre en place un service minimum d’accueil (SMA) dans les écoles les jours de grève, dès lors que l’école compte 25 % d’enseignants grévistes. À Paris, cependant, ce service n’est pas garanti dans tous les établissements. Aujourd’hui les parents d’élèves parisiens doivent souvent s’organiser la veille pour le lendemain afin de trouver une solution de garde alternative. Le 7 février dernier par exemple, c’est 60 écoles parisiennes qui étaient fermées en raison de la grève de professeurs.
La Maire de Paris aurait dû mener depuis longtemps des négociations avec les partenaires sociaux afin de signer une convention assurant la continuité du service public. La Maire de Paris dispose également de la possibilité de fixer elle‐même, au travers d’une délibération au Conseil de Paris, le nombre d’agents indispensables afin d’établir une liste de personnes susceptibles d’assurer cet accueil. Cela passe évidemment par des mesures incitatives sur l’attractivité des postes afin de susciter le volontariat des agents.
La Ville doit aussi assurer la mise en place de formations renforcées pour les agents en charge de l’accueil des enfants les jours de grève afin qu’ils puissent bénéficier d’un accueil de qualité. Si Nantes, Bordeaux, Lille ou Marseille y sont arrivés, pourquoi Paris ne parvient toujours pas à appliquer la loi ? Dans un contexte de mouvements sociaux, la Maire de Paris doit être en mesure de garantir aux parents que leur enfant sera toujours accueilli à l’école.
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Rénovation du PLU et rénovation énergétique des logements
En fin d’année dernière, la concertation pour la construction du nouveau PLU bioclimatique de la Ville de Paris s’est achevée. Cette rénovation a été précédée de plusieurs phases de consultation avec les Parisiennes et les Parisiens. Lors de chaque étape les groupes politiques, ont également été écoutés et leurs propositions ont permis d’aider à l’élaboration d’un document permettant de construire la ville de demain. Ainsi comme l’indiquait Emmanuel Grégoire, le nouveau PLU sera un document plus proche de la réalité des permis de construire délivrés. Grâce à ce document nous pourrons passer d’une méthode de démolition/reconstruction à de nouveaux mécanismes innovants permettant une meilleure constructivité. L’exécutif parisien souhaite créer, dans le cadre du PLU, de nouveaux espaces verts permettant de poursuivre la végétalisation de la Ville. L’objectif de ce document cadre, en fixant les règles de construction et d’urbanisme, est d’être encore plus adapté aux enjeux environnementaux. Il s’inscrit par ailleurs dans le cadre de l’action portée par Anne Hidalgo et la majorité municipale de créer des logements accessibles à toutes et à tous.
Ainsi pour faire face à l’urgence sociale et permettre à chacune et à chacun de vivre à Paris, l’objectif de 40 % de logements publics en 2035 a été annoncé. Afin de l’atteindre, il a été proposé par les élu.e.s de gauche d’établir une règle de mixité fonctionnelle. Cette règle obligerait une part minimale d’habitations pour tous les projets de construction ou restructuration lourde. Ainsi, pour faire de Paris une ville tournée vers l’avenir et luttant contre le réchauffement climatique, le futur PLU bioclimatique aura pour objectif de concilier l’urgence climatique et l’urgence sociale.
Groupe Écologiste du 15e
Après le Lycée, l’école de nouveau mise à mal !
155 postes d’enseignant.es supprimés en maternelle et en élémentaire, 182 postes d’enseignant.es supprimés en collège et en lycée, Fermeture de 7 lycées professionnels dont le lycée Brassaï dans le 15e par décision de la région Ile‐de‐France, Suppression de 16 classes dans le 15e.
Au regard des enjeux majeurs de notre système éducatif, nous ne pouvons pas aborder la prochaine rentrée dans une logique purement comptable. Plutôt que de supprimer des classes, nous devons mieux répartir les élèves pour que chaque école puisse fonctionner avec de petits effectifs qui permettent un suivi plus individuel des élèves, d’intégrer davantage de soutien scolaire, de développer de nombreux projets culturels, sportifs, éco‐citoyens.
Au lieu de réduire drastiquement les dotations des collèges, il faut les maintenir pour encourager les efforts des équipes pédagogiques dans le soutien aux élèves en difficulté.
Soyez assuré.es de la mobilisation des élu.es écologistes pour construire un nouveau pacte éducatif à Paris !
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
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Groupe Changer Paris
Le lancement à Paris du stationnement payant pour les motos et scooters thermiques répond à un vrai enjeu de santé publique et de protection de l’environnement, mais sa mise en place a été quelque peu chaotique et continue d’être source d’inégalités. Initialement programmée en 2021, cette décision a été retardée d’un an pour des raisons électoralistes et brutalement appliquée en catimini le 27 juin dernier, peu de temps avant les vacances, avec l’ouverture officielle des plateformes permettant aux détenteurs d’un « 2 roues motorisés » (2RM) de prendre leur abonnement. Résultat, en septembre, faute d’information municipale, des dizaines de milliers d’utilisateurs ont été piégés et se sont vu infliger des procès-verbaux dressés par les agents de la police municipale. Nous ne contestons aucunement le fait de devoir payer pour occuper temporairement l’espace public, les motards devant comme les automobilistes payer leur écot à un meilleur partage de l’espace public, mais nous regrettons que la ville de Paris ait décidé, comme elle le fait pour les voitures, d’appliquer des tarifs prohibitifs qui s’apparentent pour certains usagers à du racket et dont la mise en œuvre n’a d’autre objectif que de combler les trous d’un budget municipal systématiquement déficitaire depuis des années.
Est-il raisonnable de faire payer sur l’espace public de 3 à 6 euros de l’heure l’occupation d’une place de stationnement pour 2RM, un tarif quasi équivalent à celui d’une place dans un parking souterrain pour un encombrement trois à quatre fois inférieur, alors même que nombre de ces usagers utilisent leur scooter ou leur moto thermique non pas pour le plaisir mais, la plupart du temps, pour se rendre à leur travail, faute de moyens de transport en commun adéquats ?
Autre anomalie : contrairement à ce qui a été dit à l’origine, les scooters électriques, dont on ne cesse de vanter les vertus en matière de sobriété énergétique et de silence, peuvent eux-aussi être assujettis au paiement de leur place de stationnement si le temps d’occupation dépasse six heures d’affilée ce, qui, convenons-en, est trop court pour une journée de travail « classique ». Des incohérences qui contribuent à rendre le stationnement particulièrement compliqué à Paris, y compris pour les Personnes à Mobilité Réduite, particulièrement tributaires de leur véhicule et pour qui les démarches d’obtention de la gratuité de stationnement sont excessivement compliquées.
Il nous parait donc essentiel que la ville de Paris revoit à la baisse la grille tarifaire du stationnement des deux-roues motorisés thermiques et exonère définitivement et inconditionnellement les scooters électriques.
Groupe Indépendants et Progressistes
Fin des loyers capitalisés à la mairie de paris
Les finances de la ville de Paris sont dans une situation très inquiétante, avec un endettement qui a considérablement augmenté, atteignant plus de 8 milliards d’euros. À cette dette se sont aussi trop longtemps ajoutées des manœuvres financières que nous condamnons : la mairie de Paris bénéficiait d’une exception qui lui permettait de demander aux bailleurs sociaux de lui verser aujourd’hui, en avance, des loyers qu’elle aurait dû percevoir pendant des dizaines d’années à venir. Le Ministère des Comptes Publics a heureusement mis fin à ce dispositif qui risquait de déstabiliser encore le budget de Paris. Les hausses d’impôt annoncées par la Mairie sont particulièrement injustes, dans une ville où le coût de la vie est déjà si élevée, et seront inefficaces, si aucune réforme n’est mise en oeuvre. Nous insistons sur le besoin de mieux utiliser l’argent public : réduire les dépenses des projets pharaoniques et investir dans les équipements et les services publics du quotidien.
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Défendons les services publics du 15e !
Le service public, c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas. Pourtant, dans le 15e , comme dans tout Paris, les transports se dégradent. Il suffit de prendre le métro aux heures de pointe pour s’en apercevoir. L’offre de transports n’est toujours pas revenue au niveau d’avant crise Covid. Et pourtant, il y a urgence ! Valérie Pécresse, la présidente de la région Ile de France qui est responsable des transports doit en prendre la mesure. Pénurie de personnels, problématiques de recrutements, investissements trop faibles dans le matériel … Ile de France mobilité l’autorité organisatrice des transports- doit reprendre les choses en main.La situation est telle que des élus de l’opposition de gauche au Conseil Régional même saisi la Défenseure des Droits sur le sujet.
La Région Île-de-France, a par ailleurs annoncé la fermeture du lycée professionnel Brassaï. Cette fermeture, comme celle de 6 autres lycées professionnels à Paris, a été réalisée sans concertation avec les parents d’élèves, les élèves ou la Ville de Paris. Elle va à l’encontre des intérêts pédagogiques des élèves. Nous avons demandé en conseil d’arrondissement sa suspension car elle va en outre peser sur le lycée Louis Armand. Pour les parents, les élèves, comme pour nous, il est incompréhensible que la Mairie du 15e la soutienne. De même, il est choquant qu’elle ne s’oppose pas à la suppression du bureau de poste de la rue de Lourmel, malgré la grande mobilisation des habitantes et des habitants qui doivent désormais faire un long trajet en se rendant jusqu’à la rue Bernard Shaw ou à la rue Desaix ! Nous demandons sa ré-ouverture au plus vite.
Vos élus de gauche sont, et resteront, pleinement engagés et mobilisés sur ces sujets qui impactent directement votre quotidien et celui de vos enfants
Groupe Écologiste du 15e
Sauvons le Lycée Brassaï !
La Région Île-de-France vient d’annoncer, sans concertation avec la ville de Paris, un projet de fermeture totale ou partielle de six lycées professionnels et d’un lycée général à Paris pour la rentrée de septembre 2023, dont le lycée Brassaï pour le 15e. Les enseignants et les parents d’élèves s’inquiètent des conséquences de ces fermetures et des conditions du redéploiement de ces formations, des capacités d’accueil insuffisantes des lycées devant accueillir de nouveaux élèves, de la perte de semaines de scolarités induites et du stress causé inutilement aux élèves. La Région et l’Académie de Paris doivent impérativement renoncer à ces projets de fermeture et garantir le maintien et le bon fonctionnement du lycée Brassaï dans le 15e arrondissement, notamment la sauvegarde des apprentissages qui y sont proposés.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
Le lancement à Paris du stationnement payant pour les motos et scooters thermiques répond à un vrai enjeu de santé publique et de protection de l’environnement, mais sa mise en place a été quelque peu chaotique et continue d’être source d’inégalités. Initialement programmée en 2021, cette décision a été retardée d’un an pour des raisons électoralistes et brutalement appliquée en catimini le 27 juin dernier, peu de temps avant les vacances, avec l’ouverture officielle des plateformes permettant aux détenteurs d’un « 2 roues motorisés » (2RM) de prendre leur abonnement. Résultat, en septembre, faute d’information municipale, des dizaines de milliers d’utilisateurs ont été piégés et se sont vu infliger des procès-verbaux dressés par les agents de la police municipale. Nous ne contestons aucunement le fait de devoir payer pour occuper temporairement l’espace public, les motards devant comme les automobilistes payer leur écot à un meilleur partage de l’espace public, mais nous regrettons que la ville de Paris ait décidé, comme elle le fait pour les voitures, d’appliquer des tarifs prohibitifs qui s’apparentent pour certains usagers à du racket et dont la mise en œuvre n’a d’autre objectif que de combler les trous d’un budget municipal systématiquement déficitaire depuis des années.
Est-il raisonnable de faire payer sur l’espace public de 3 à 6 euros de l’heure l’occupation d’une place de stationnement pour 2RM, un tarif quasi équivalent à celui d’une place dans un parking souterrain pour un encombrement trois à quatre fois inférieur, alors même que nombre de ces usagers utilisent leur scooter ou leur moto thermique non pas pour le plaisir mais, la plupart du temps, pour se rendre à leur travail, faute de moyens de transport en commun adéquats ?
Autre anomalie : contrairement à ce qui a été dit à l’origine, les scooters électriques, dont on ne cesse de vanter les vertus en matière de sobriété énergétique et de silence, peuvent eux-aussi être assujettis au paiement de leur place de stationnement si le temps d’occupation dépasse six heures d’affilée ce, qui, convenons-en, est trop court pour une journée de travail « classique ». Des incohérences qui contribuent à rendre le stationnement particulièrement compliqué à Paris, y compris pour les Personnes à Mobilité Réduite, particulièrement tributaires de leur véhicule et pour qui les démarches d’obtention de la gratuité de stationnement sont excessivement compliquées.
Il nous parait donc essentiel que la ville de Paris revoit à la baisse la grille tarifaire du stationnement des deux-roues motorisés thermiques et exonère définitivement et inconditionnellement les scooters électriques.
Groupe Indépendants et Progressistes
Fin des loyers capitalisés à la mairie de paris
Les finances de la ville de Paris sont dans une situation très inquiétante, avec un endettement qui a considérablement augmenté, atteignant plus de 8 milliards d’euros. À cette dette se sont aussi trop longtemps ajoutées des manœuvres financières que nous condamnons : la mairie de Paris bénéficiait d’une exception qui lui permettait de demander aux bailleurs sociaux de lui verser aujourd’hui, en avance, des loyers qu’elle aurait dû percevoir pendant des dizaines d’années à venir. Le Ministère des Comptes Publics a heureusement mis fin à ce dispositif qui risquait de déstabiliser encore le budget de Paris. Les hausses d’impôt annoncées par la Mairie sont particulièrement injustes, dans une ville où le coût de la vie est déjà si élevée, et seront inefficaces, si aucune réforme n’est mise en oeuvre. Nous insistons sur le besoin de mieux utiliser l’argent public : réduire les dépenses des projets pharaoniques et investir dans les équipements et les services publics du quotidien.
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Défendons les services publics du 15e !
Le service public, c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas. Pourtant, dans le 15e , comme dans tout Paris, les transports se dégradent. Il suffit de prendre le métro aux heures de pointe pour s’en apercevoir. L’offre de transports n’est toujours pas revenue au niveau d’avant crise Covid. Et pourtant, il y a urgence ! Valérie Pécresse, la présidente de la région Ile de France qui est responsable des transports doit en prendre la mesure. Pénurie de personnels, problématiques de recrutements, investissements trop faibles dans le matériel … Ile de France mobilité l’autorité organisatrice des transports- doit reprendre les choses en main.La situation est telle que des élus de l’opposition de gauche au Conseil Régional même saisi la Défenseure des Droits sur le sujet.
La Région Île-de-France, a par ailleurs annoncé la fermeture du lycée professionnel Brassaï. Cette fermeture, comme celle de 6 autres lycées professionnels à Paris, a été réalisée sans concertation avec les parents d’élèves, les élèves ou la Ville de Paris. Elle va à l’encontre des intérêts pédagogiques des élèves. Nous avons demandé en conseil d’arrondissement sa suspension car elle va en outre peser sur le lycée Louis Armand. Pour les parents, les élèves, comme pour nous, il est incompréhensible que la Mairie du 15e la soutienne. De même, il est choquant qu’elle ne s’oppose pas à la suppression du bureau de poste de la rue de Lourmel, malgré la grande mobilisation des habitantes et des habitants qui doivent désormais faire un long trajet en se rendant jusqu’à la rue Bernard Shaw ou à la rue Desaix ! Nous demandons sa ré-ouverture au plus vite.
Vos élus de gauche sont, et resteront, pleinement engagés et mobilisés sur ces sujets qui impactent directement votre quotidien et celui de vos enfants
Groupe Écologiste du 15e
Sauvons le Lycée Brassaï !
La Région Île-de-France vient d’annoncer, sans concertation avec la ville de Paris, un projet de fermeture totale ou partielle de six lycées professionnels et d’un lycée général à Paris pour la rentrée de septembre 2023, dont le lycée Brassaï pour le 15e. Les enseignants et les parents d’élèves s’inquiètent des conséquences de ces fermetures et des conditions du redéploiement de ces formations, des capacités d’accueil insuffisantes des lycées devant accueillir de nouveaux élèves, de la perte de semaines de scolarités induites et du stress causé inutilement aux élèves. La Région et l’Académie de Paris doivent impérativement renoncer à ces projets de fermeture et garantir le maintien et le bon fonctionnement du lycée Brassaï dans le 15e arrondissement, notamment la sauvegarde des apprentissages qui y sont proposés.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
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Groupe Changer Paris
Le sport, parent pauvre de la politique municipale :
Dans tout juste deux ans, les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris s’achèveront, cent ans après ceux qui se sont tenus tout près de Paris, à Colombes, en mai 1924.
Des Olympiades d’été qui ne reviendront sans doute pas en France avant un bon siècle.
Il convient donc qu’elles soient parfaitement réussies.
Pour qu’un tel évènement planétaire soit un succès, au-delà des résultats sportifs du pays-hôte et des strictes contraintes environnementales, financières, organisationnelles ou sécuritaires, il convient que les habitants de la ville d’accueil se sentent pleinement associés à leur préparation et soient conscients de leur utilité éducative, sociale et économique avec des retombées de long terme sur l’emploi, mais aussi sur l’aménagement du territoire parisien. En ce sens, les Jeux doivent préfigurer ce que sera la ville de demain.
Mais le soutien aux Olympiades doit également se lire dans l’engouement des Parisiens, dans la part qu’ils prendront au succès populaire de cet évènement exceptionnel, ainsi que dans le soutien municipal au mouvement sportif qui irrigue nos arrondissements, ces centaines de clubs sportifs réunissant des dizaines de milliers de sportifs amateurs.
Pourtant, il faut en convenir, ce n’est pas le chemin suivi par la municipalité parisienne depuis que Paris a été choisie comme ville-hôte, en 2017. Au-delà des moyens financiers déployés pour rénover les équipements sportifs - au demeurant trop peu nombreux -, depuis quelques années comme, par exemple, le plan « Nager à Paris » qui a permis de moderniser les piscines parisiennes, notamment celles du 15e , le soutien aux clubs de la capitale n’est pas suffisant et de trop nombreux centres sportifs restent encore en mauvais état.
Comment expliquer que ces clubs de quartier, accueillant pour certains plusieurs centaines de licenciés, n’aient pas vu leurs subventions augmentées depuis des années parallèlement à l’accroissement de leurs effectifs ? Comment expliquer que, de la même manière, les maigres créneaux d’utilisation des équipements sportifs qui leur sont accordés n’aient pas évolué, obligeant leurs membres à négliger leur entrainement pour se concentrer sur les matches officiels ? Alors même que chacun sait que le sport constitue l’un des meilleurs moyens de prévenir les maladies graves et que les autorités ont pour objectif de promouvoir le sport à l’école comme levier de l’émancipation collective, les moyens ne suivent pas.
Le sport de proximité aurait du devenir l’un des fils rouges de l’action municipale pour cette mandature. Il n’en a rien été ! Il ne reste que deux ans pour relever le défi et faire de la capitale une ville olympique à la hauteur des enjeux qui s’annoncent !
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Le périphérique, en plus d’être une autoroute qui ceinture Paris, est une frontière physique et symbolique dans l’esprit de beaucoup. Il représente plus du tiers des émissions d’oxyde d’azote (34%) et des particules PM10 (39%) de la capitale. Il génère une pollution sonore importante. 90 % des sites testés dépassent les limites européennes (68 décibels en journée, 62 le soir) voire excèdent les 75 décibels.
Le périphérique est d’abord un sujet pour celles et ceux qui vivent à proximité et les premiers quartiers concernés sont les quartiers populaires. 500 000 personnes, vivent à proximité et sont les premières à en subir les nuisances.
La Ville de Paris a mené dès 2019 une mission d’information et d’évaluation sur l’avenir du périphérique. Entre 2019 et 2022, de multiples concertations ont permis de repenser le périphérique de demain.
Avec méthode, concertation et progressivité plusieurs axes sont fixés. Dans un objectif de santé environnementale, les conditions de vie des riverains immédiats parisiens ou de communes de la Petite Couronne, avec lesquelles nous souhaitons recréer du lien, seront améliorées. Les abords du périphérique seront végétalisés afin d’améliorer le cadre de vie. Des services publics et urbains seront recréés sur ses abords, où nous en manquons cruellement.
Ainsi, en 2024, la Ville de Paris expérimentera une voie dédiée au covoiturage, aux bus et aux taxis. 5 portes (dont celle de Brancion) seront transformées pour les rendre plus accessibles à toutes et tous. Enfin, 50 000 arbres seront plantés sur les talus et le terre-plein central.
À l’horizon 2030 la transformation du périphérique en boulevard urbain sera complète : homogénéisation de la circulation en 2X3 voies, plantation de 20 000 arbres supplémentaires, de nouveaux quartiers seront également réalisés aux abords
Groupe Indépendants et Progressistes
Canicule ! Il faut agir !
Et si… Et si la maire de Paris investissait les millions du projet One Tour Eiffel dans des actions qui amélioreront la vie quotidienne des Parisiens face au réchauffement climatique plutôt que dans des projets pharaoniques qui soulèvent de multiples problèmes ?
Nous n’avons plus le temps de rêver d’un Paris plus résilient. L’exécutif parisien doit réo-rienter ses priorités. Face au réchauffement climatique, l’heure n’est plus à la communi-cation, mais à des actions pour rendre la ville plus vivable pour toutes les générations.
La protection des arbres, la création d’îlots de fraicheur, la rénovation thermique des bâ-timents, alliées à de nombreuses innovations comme des revêtements routiers adaptés, déjà en test dans le 15e arrondissement, participeront à la lutte contre les canicules.
Sans nul doute, il s’agit là du défi du siècle. Nous sommes convaincus que les élus pari-siens de la mandature 2020- 2026 n’ont plus le choix. Ainsi nous porterons sans relâche des projets adaptés, veillerons aux programmes proposés par l’exécutif et maintiendrons la pression afin de ne pas rester dans le dire.
Notre responsabilité est de lutter contre l’inaction, de protéger les futures générations et de montrer le chemin de ce que doit être une ville en 2050.
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Écologiste du 15e
Canicules : Le changement climatique est déjà là. Soyons à la hauteur de cet enjeu !
Au printemps 2022, Paris a subi de très fortes chaleurs, avec des températures pouvant dépasser de 10 degrés les normales saisonnières. Les premiers jours de l’été n’ont pas été en reste et nous ont également infligé plusieurs épisodes de canicule agrémentés de pics de pollution donnant l’impression aux Parisiennes et aux Parisiens de suffoquer. Et, ce n’est que le début : selon les climatologues, d’ici 2050 les canicules vont devenir deux fois plus nombreuses.
Face à l’urgence climatique de plus en plus criante, notre groupe a proposé au Conseil de Paris de juillet, la création d’une Mission d’Information et d’Évaluation “Paris à 50 degrés : les politiques dédiées à l’adaptation de Paris aux super vagues de chaleur”, dont les travaux commenceront à l’automne prochain. Nous souhaitons évaluer les conséquences et les risques que font peser les fortes chaleurs sur les conditions de vie à Paris, les stratégies actuellement mises en place, et formuler des préconisations afin de faire évoluer les politiques d’adaptation de notre collectivité.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
Le sport, parent pauvre de la politique municipale :
Dans tout juste deux ans, les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris s’achèveront, cent ans après ceux qui se sont tenus tout près de Paris, à Colombes, en mai 1924.
Des Olympiades d’été qui ne reviendront sans doute pas en France avant un bon siècle.
Il convient donc qu’elles soient parfaitement réussies.
Pour qu’un tel évènement planétaire soit un succès, au-delà des résultats sportifs du pays-hôte et des strictes contraintes environnementales, financières, organisationnelles ou sécuritaires, il convient que les habitants de la ville d’accueil se sentent pleinement associés à leur préparation et soient conscients de leur utilité éducative, sociale et économique avec des retombées de long terme sur l’emploi, mais aussi sur l’aménagement du territoire parisien. En ce sens, les Jeux doivent préfigurer ce que sera la ville de demain.
Mais le soutien aux Olympiades doit également se lire dans l’engouement des Parisiens, dans la part qu’ils prendront au succès populaire de cet évènement exceptionnel, ainsi que dans le soutien municipal au mouvement sportif qui irrigue nos arrondissements, ces centaines de clubs sportifs réunissant des dizaines de milliers de sportifs amateurs.
Pourtant, il faut en convenir, ce n’est pas le chemin suivi par la municipalité parisienne depuis que Paris a été choisie comme ville-hôte, en 2017. Au-delà des moyens financiers déployés pour rénover les équipements sportifs - au demeurant trop peu nombreux -, depuis quelques années comme, par exemple, le plan « Nager à Paris » qui a permis de moderniser les piscines parisiennes, notamment celles du 15e , le soutien aux clubs de la capitale n’est pas suffisant et de trop nombreux centres sportifs restent encore en mauvais état.
Comment expliquer que ces clubs de quartier, accueillant pour certains plusieurs centaines de licenciés, n’aient pas vu leurs subventions augmentées depuis des années parallèlement à l’accroissement de leurs effectifs ? Comment expliquer que, de la même manière, les maigres créneaux d’utilisation des équipements sportifs qui leur sont accordés n’aient pas évolué, obligeant leurs membres à négliger leur entrainement pour se concentrer sur les matches officiels ? Alors même que chacun sait que le sport constitue l’un des meilleurs moyens de prévenir les maladies graves et que les autorités ont pour objectif de promouvoir le sport à l’école comme levier de l’émancipation collective, les moyens ne suivent pas.
Le sport de proximité aurait du devenir l’un des fils rouges de l’action municipale pour cette mandature. Il n’en a rien été ! Il ne reste que deux ans pour relever le défi et faire de la capitale une ville olympique à la hauteur des enjeux qui s’annoncent !
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Le périphérique, en plus d’être une autoroute qui ceinture Paris, est une frontière physique et symbolique dans l’esprit de beaucoup. Il représente plus du tiers des émissions d’oxyde d’azote (34%) et des particules PM10 (39%) de la capitale. Il génère une pollution sonore importante. 90 % des sites testés dépassent les limites européennes (68 décibels en journée, 62 le soir) voire excèdent les 75 décibels.
Le périphérique est d’abord un sujet pour celles et ceux qui vivent à proximité et les premiers quartiers concernés sont les quartiers populaires. 500 000 personnes, vivent à proximité et sont les premières à en subir les nuisances.
La Ville de Paris a mené dès 2019 une mission d’information et d’évaluation sur l’avenir du périphérique. Entre 2019 et 2022, de multiples concertations ont permis de repenser le périphérique de demain.
Avec méthode, concertation et progressivité plusieurs axes sont fixés. Dans un objectif de santé environnementale, les conditions de vie des riverains immédiats parisiens ou de communes de la Petite Couronne, avec lesquelles nous souhaitons recréer du lien, seront améliorées. Les abords du périphérique seront végétalisés afin d’améliorer le cadre de vie. Des services publics et urbains seront recréés sur ses abords, où nous en manquons cruellement.
Ainsi, en 2024, la Ville de Paris expérimentera une voie dédiée au covoiturage, aux bus et aux taxis. 5 portes (dont celle de Brancion) seront transformées pour les rendre plus accessibles à toutes et tous. Enfin, 50 000 arbres seront plantés sur les talus et le terre-plein central.
À l’horizon 2030 la transformation du périphérique en boulevard urbain sera complète : homogénéisation de la circulation en 2X3 voies, plantation de 20 000 arbres supplémentaires, de nouveaux quartiers seront également réalisés aux abords
Groupe Indépendants et Progressistes
Canicule ! Il faut agir !
Et si… Et si la maire de Paris investissait les millions du projet One Tour Eiffel dans des actions qui amélioreront la vie quotidienne des Parisiens face au réchauffement climatique plutôt que dans des projets pharaoniques qui soulèvent de multiples problèmes ?
Nous n’avons plus le temps de rêver d’un Paris plus résilient. L’exécutif parisien doit réo-rienter ses priorités. Face au réchauffement climatique, l’heure n’est plus à la communi-cation, mais à des actions pour rendre la ville plus vivable pour toutes les générations.
La protection des arbres, la création d’îlots de fraicheur, la rénovation thermique des bâ-timents, alliées à de nombreuses innovations comme des revêtements routiers adaptés, déjà en test dans le 15e arrondissement, participeront à la lutte contre les canicules.
Sans nul doute, il s’agit là du défi du siècle. Nous sommes convaincus que les élus pari-siens de la mandature 2020- 2026 n’ont plus le choix. Ainsi nous porterons sans relâche des projets adaptés, veillerons aux programmes proposés par l’exécutif et maintiendrons la pression afin de ne pas rester dans le dire.
Notre responsabilité est de lutter contre l’inaction, de protéger les futures générations et de montrer le chemin de ce que doit être une ville en 2050.
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
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Groupe Écologiste du 15e
Canicules : Le changement climatique est déjà là. Soyons à la hauteur de cet enjeu !
Au printemps 2022, Paris a subi de très fortes chaleurs, avec des températures pouvant dépasser de 10 degrés les normales saisonnières. Les premiers jours de l’été n’ont pas été en reste et nous ont également infligé plusieurs épisodes de canicule agrémentés de pics de pollution donnant l’impression aux Parisiennes et aux Parisiens de suffoquer. Et, ce n’est que le début : selon les climatologues, d’ici 2050 les canicules vont devenir deux fois plus nombreuses.
Face à l’urgence climatique de plus en plus criante, notre groupe a proposé au Conseil de Paris de juillet, la création d’une Mission d’Information et d’Évaluation “Paris à 50 degrés : les politiques dédiées à l’adaptation de Paris aux super vagues de chaleur”, dont les travaux commenceront à l’automne prochain. Nous souhaitons évaluer les conséquences et les risques que font peser les fortes chaleurs sur les conditions de vie à Paris, les stratégies actuellement mises en place, et formuler des préconisations afin de faire évoluer les politiques d’adaptation de notre collectivité.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
____________________________________________________________________________________________________
Groupe Changer Paris
Si le budget d’une collectivité locale peut parfois sembler abscons, il n’en est pas moins essentiel puisqu’il fixe les grandes priorités de la politique pluri-annuelle mise en œuvre. Il constitue en effet le fil rouge de toute action publique sans lequel aucun projet ne peut être réalisé.
C’est le cas du Programme d’Investissement pour la Mandature (PIM), traditionnellement voté en tout début de mandature et qui constitue la feuille de route des grands projets qui seront financés par la collectivité parisienne dans les 17 arrondissements.
Les Mairies d’arrondissement viennent tout juste de recevoir les enveloppes qui leur sont allouées et le moins que l’on puisse dire est qu’elles ne sont pas à la hauteur des engagements pris par l’exécutif parisien, masquant ainsi un manque patent d’ambition pour les années à venir. Qu’on en juge !
Sous la précédente mandature (2014/2020), 121 millions avaient été alloués à notre arrondissement, dans le cadre de 31 opérations couvrant l’ensemble des compétences municipales (crèches, écoles, sport, espaces verts, voirie, etc).
Pour la mandature en cours (2020/2026), seuls 26 millions nous sont alloués dans le cadre de seulement huit opérations.
La prolongation de la coulée verte sur la petite ceinture ferroviaire, entre la rue de Dantzig et la rue Jacques Baudry, n’a ainsi pas été retenue, pas plus que la rénovation de la crèche Keller, l’opération de valorisation de l’emprise publique 99 rue Olivier de Serres qui permettrait de réaliser des équipements publics ou encore la mise aux normes de l’ancien tribunal d’instance.
Alors que, par exemple, 22 millions ont été engagés sous la précédente mandature pour la réhabilitation du groupe scolaire Dupleix-Cardinal Amette, seuls cinq millions sont prévus pour la démolition-reconstruction du groupe scolaire Brancion, ce qui nous semble totalement insuffisant.
Le PIM ne constitue certes pas l’unique source de financement des investissements réalisés dans les arrondissements, mais il est en quelque sorte l’épine dorsale des investissements majeurs réalisés au cours d’une mandature, un PIM accompagné, chaque année, d’enveloppes dites « d’intérêt local », qui, malheureusement figées depuis des années, sont désormais insuffisantes et ne sauraient à elles seules financer les très nombreux travaux dont nous avons besoin tels que le ravalement des écoles ou le plan de rénovation des trottoirs et des chaussées que nous appelons de nos vœux, pourtant indispensables.
Il nous faudra donc compter plus que jamais sur le dispositif « Embellir votre quartier », qui exclut néanmoins la rénovation urgente d’infrastructures lourdes (éclairage public, chaussées déformées), et sur le Budget participatif pour respecter les engagements pris auprès de nos administrés, ce que nous avons fait, par exemple, sous la précédente mandature en mobilisant sur le seul Budget participatif plus de six millions pour lancer le réaménagement du quartier Bargue-Falguière, ou encore trois millions et demi pour la réfection du boulevard de Vaugirard.
Conscients de la nécessité de la rigueur budgétaire, nous regrettons d’autant plus les mauvais choix de la Mairie de Paris.
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Il y a quelques mois le Président Macron annonçait notre objectif commun sur la vaccination. 50 millions de vaccinés. L’été touche à sa fin et le pari semble gagné. En septembre, 80% de la population de plus de 12 ans, aura reçu au moins une dose. Nous souhaitons saluer les habitants du 15ème qui ont été les plus nombreux à prendre RDV à Paris. Mais également, cette formidable chaîne humaine qui contribue chaque jour à faire en sorte que chacun de nous puisse se protéger en se vaccinant : les personnels de santé bien sûr, mais également tous les bénévoles sans qui rien ne serait possible. Alors, continuons ensemble à parler du vaccin et à convaincre en espérant que l’été prochain tout cela sera une bonne fois pour toutes derrière nous.
Une suggestion, une question, une réaction ? Ecrivez-nous !
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Le budget participatif poursuit son grand retour !
Cette année vous avez été 199 parisiens, associations ou collectifs à avoir déposé un projet pour construire le 15e de demain. Après études de recevabilité, faisabilité et regroupements des projets, 26 d’entre eux seront soumis à votre vote du 9 au 28 septembre dans le 15e et 217 seront soumis pour l’ensemble de Paris.
De la culture au 106 rue Brancion, un projet qui faisait partie de notre programme de campagne, en passant par la création d’une maison de santé aux Frères Voisins, de cours Oasis dans nos écoles ou encore à la rénovation du parc Brassens, vous avez à nouveau fait preuve de créativité pour notre cher arrondissement.
Grâce à vos idées, le 15e change et de nombreux projets ont déjà vu le jour depuis la création du Budget Participatif : création d’une coulée verte à Beaugrenelle, rénovation du gymnase Rigoulot, réaménagement de la place Cambronne, création d’une maison de santé aux Périchaux, etc. D’autres ont été livrés ces derniers jours et le seront dans les prochaines semaines : création de halles alimentaires, d’un espace de coworking sur la petite ceinture, végétalisation des boulevards Pasteur et Vaugirard, etc.
Le nouveau système de vote vous permettra d’exprimer plus finement votre avis sur chaque projet : qu’ils soient positifs ou négatifs ! A la fin de la phase de vote, 5 projets seront lauréats pour le 15e arrondissement et 2 projets le seront pour tout Paris.
Alors cette année, plus que jamais, du 9 au 28 septembre, votez pour construire avec nous le Paris et le 15e de demain !
Anouch Toranian, Florian Sitbon, Julien Rippert, Isabelle Roy, Evelyne Boscheron, Fatiha Aggoune.
Groupe Écologiste du 15e
Paris, terre d’asile ?
À l’heure où nous écrivons cette tribune, veille de rentrée scolaire, nous envisagions d’évoquer la précarité des étudiant.e.s qui ont beaucoup souffert de la crise sanitaire et manquent cruellement de sérénité et de visibilité quant à leur avenir, voire même quant à leur subsistance pendant leur scolarité. Mais en ce 1er septembre 2021, c’est la précarité de près de 500 réfugié.e.s, dont de nombreuses familles avec enfants, installé.e.s le jour même au Parc André Citroën qui nous interpelle. Ces personnes ne demandent qu’une seule chose, avec l’aide de l’association Utopia 56 dont nous saluons le travail, c’est le droit de vivre dans la dignité, de bénéficier d’un hébergement décent qui est de droit pour toute personne candidate à l’asile en France.
L’État doit remplir sa mission et Paris doit l’y aider !
Retrouvez l’intégralité du rapport sur paris.fr.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
Si le budget d’une collectivité locale peut parfois sembler abscons, il n’en est pas moins essentiel puisqu’il fixe les grandes priorités de la politique pluri-annuelle mise en œuvre. Il constitue en effet le fil rouge de toute action publique sans lequel aucun projet ne peut être réalisé.
C’est le cas du Programme d’Investissement pour la Mandature (PIM), traditionnellement voté en tout début de mandature et qui constitue la feuille de route des grands projets qui seront financés par la collectivité parisienne dans les 17 arrondissements.
Les Mairies d’arrondissement viennent tout juste de recevoir les enveloppes qui leur sont allouées et le moins que l’on puisse dire est qu’elles ne sont pas à la hauteur des engagements pris par l’exécutif parisien, masquant ainsi un manque patent d’ambition pour les années à venir. Qu’on en juge !
Sous la précédente mandature (2014/2020), 121 millions avaient été alloués à notre arrondissement, dans le cadre de 31 opérations couvrant l’ensemble des compétences municipales (crèches, écoles, sport, espaces verts, voirie, etc).
Pour la mandature en cours (2020/2026), seuls 26 millions nous sont alloués dans le cadre de seulement huit opérations.
La prolongation de la coulée verte sur la petite ceinture ferroviaire, entre la rue de Dantzig et la rue Jacques Baudry, n’a ainsi pas été retenue, pas plus que la rénovation de la crèche Keller, l’opération de valorisation de l’emprise publique 99 rue Olivier de Serres qui permettrait de réaliser des équipements publics ou encore la mise aux normes de l’ancien tribunal d’instance.
Alors que, par exemple, 22 millions ont été engagés sous la précédente mandature pour la réhabilitation du groupe scolaire Dupleix-Cardinal Amette, seuls cinq millions sont prévus pour la démolition-reconstruction du groupe scolaire Brancion, ce qui nous semble totalement insuffisant.
Le PIM ne constitue certes pas l’unique source de financement des investissements réalisés dans les arrondissements, mais il est en quelque sorte l’épine dorsale des investissements majeurs réalisés au cours d’une mandature, un PIM accompagné, chaque année, d’enveloppes dites « d’intérêt local », qui, malheureusement figées depuis des années, sont désormais insuffisantes et ne sauraient à elles seules financer les très nombreux travaux dont nous avons besoin tels que le ravalement des écoles ou le plan de rénovation des trottoirs et des chaussées que nous appelons de nos vœux, pourtant indispensables.
Il nous faudra donc compter plus que jamais sur le dispositif « Embellir votre quartier », qui exclut néanmoins la rénovation urgente d’infrastructures lourdes (éclairage public, chaussées déformées), et sur le Budget participatif pour respecter les engagements pris auprès de nos administrés, ce que nous avons fait, par exemple, sous la précédente mandature en mobilisant sur le seul Budget participatif plus de six millions pour lancer le réaménagement du quartier Bargue-Falguière, ou encore trois millions et demi pour la réfection du boulevard de Vaugirard.
Conscients de la nécessité de la rigueur budgétaire, nous regrettons d’autant plus les mauvais choix de la Mairie de Paris.
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Il y a quelques mois le Président Macron annonçait notre objectif commun sur la vaccination. 50 millions de vaccinés. L’été touche à sa fin et le pari semble gagné. En septembre, 80% de la population de plus de 12 ans, aura reçu au moins une dose. Nous souhaitons saluer les habitants du 15ème qui ont été les plus nombreux à prendre RDV à Paris. Mais également, cette formidable chaîne humaine qui contribue chaque jour à faire en sorte que chacun de nous puisse se protéger en se vaccinant : les personnels de santé bien sûr, mais également tous les bénévoles sans qui rien ne serait possible. Alors, continuons ensemble à parler du vaccin et à convaincre en espérant que l’été prochain tout cela sera une bonne fois pour toutes derrière nous.
Une suggestion, une question, une réaction ? Ecrivez-nous !
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Le budget participatif poursuit son grand retour !
Cette année vous avez été 199 parisiens, associations ou collectifs à avoir déposé un projet pour construire le 15e de demain. Après études de recevabilité, faisabilité et regroupements des projets, 26 d’entre eux seront soumis à votre vote du 9 au 28 septembre dans le 15e et 217 seront soumis pour l’ensemble de Paris.
De la culture au 106 rue Brancion, un projet qui faisait partie de notre programme de campagne, en passant par la création d’une maison de santé aux Frères Voisins, de cours Oasis dans nos écoles ou encore à la rénovation du parc Brassens, vous avez à nouveau fait preuve de créativité pour notre cher arrondissement.
Grâce à vos idées, le 15e change et de nombreux projets ont déjà vu le jour depuis la création du Budget Participatif : création d’une coulée verte à Beaugrenelle, rénovation du gymnase Rigoulot, réaménagement de la place Cambronne, création d’une maison de santé aux Périchaux, etc. D’autres ont été livrés ces derniers jours et le seront dans les prochaines semaines : création de halles alimentaires, d’un espace de coworking sur la petite ceinture, végétalisation des boulevards Pasteur et Vaugirard, etc.
Le nouveau système de vote vous permettra d’exprimer plus finement votre avis sur chaque projet : qu’ils soient positifs ou négatifs ! A la fin de la phase de vote, 5 projets seront lauréats pour le 15e arrondissement et 2 projets le seront pour tout Paris.
Alors cette année, plus que jamais, du 9 au 28 septembre, votez pour construire avec nous le Paris et le 15e de demain !
Anouch Toranian, Florian Sitbon, Julien Rippert, Isabelle Roy, Evelyne Boscheron, Fatiha Aggoune.
Groupe Écologiste du 15e
Paris, terre d’asile ?
À l’heure où nous écrivons cette tribune, veille de rentrée scolaire, nous envisagions d’évoquer la précarité des étudiant.e.s qui ont beaucoup souffert de la crise sanitaire et manquent cruellement de sérénité et de visibilité quant à leur avenir, voire même quant à leur subsistance pendant leur scolarité. Mais en ce 1er septembre 2021, c’est la précarité de près de 500 réfugié.e.s, dont de nombreuses familles avec enfants, installé.e.s le jour même au Parc André Citroën qui nous interpelle. Ces personnes ne demandent qu’une seule chose, avec l’aide de l’association Utopia 56 dont nous saluons le travail, c’est le droit de vivre dans la dignité, de bénéficier d’un hébergement décent qui est de droit pour toute personne candidate à l’asile en France.
L’État doit remplir sa mission et Paris doit l’y aider !
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Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
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Groupe Changer Paris
Notre société est de plus en plus marquée par la consommation de stupéfiants, dont le crack, une drogue parmi les moins chères et les plus dangereuses qui cause des ravages, en particulier chez les jeunes, et contribue à accroître la délinquance. A Paris, plusieurs milliers de toxicomanes se concentrent dans certains quartiers, devenus de véritables zones de non-droit, pourrissant la vie des riverains qui craignent pour leur sécurité en raison de la fixation des dealers, de la multiplication des agressions dans l’espace public, des dégradations, de la prostitution et de la mendicité agressive. En vingt ans, essentiellement pour des raisons idéologiques, aucune mesure significative n’a été prise par la Mairie de Paris pour lutter efficacement contre ce fléau, à l’exception de la création en 2016 d’une salle de shoot dans le 10e, au cœur d’un quartier résidentiel dense. Un échec, selon le dernier rapport de l’INSERM, une expérimentation qu’aucune autre grande ville française ne s’est hasardée à dupliquer, alors que les spécialistes recommandent de sortir les toxicomanes de la rue et de les prendre en charge médicalement, psychologiquement et socialement en milieu hospitalier ou dans des structures thérapeutiques adaptées, sur injonction de la justice le cas échéant. La dernière idée municipale en date, le regroupement des « crackers » dans un jardin du 18e arrondissement, s’est soldée par un fiasco. D’éviction en éviction, et faute de mesures durables, la situation n’a cessé de se dégrader. Bien que la corrélation entre la consommation de crack et la commission de délits soit désormais avérée, selon le rapport de l’INSERM, aucune politique répressive sérieuse n’a jamais été mise en œuvre. La lutte contre la drogue nécessite que police et justice renforcent le démantèlement des réseaux de dealers qui animent une véritable économie souterraine génèrant plus de trois milliards de profits. Il faut identifier les trafics, grâce à un réseau plus dense de caméras de vidéo-protection, en particulier devant les établissements scolaires et en renforçant la veille sur internet et les réseaux sociaux, déstabiliser les points de deal, multiplier les saisies des avoirs criminels et des armes, de plus en plus répandues, mais aussi développer les cellules de renseignement opérationnel et réactiver le plan parisien de lutte contre la drogue. C’est à ces conditions que l’on réussira à faire refluer le fléau de la drogue, qui contamine notre jeunesse. Encore faut-il avoir la volonté politique d’en faire une nouvelle priorité !
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Face à un regain de l’épidémie et la forte contagiosité du variant Delta, les perspectives d’une vaccination massive avec un été de mobilisation, offre l’espoir d’une liberté retrouvée. Le Président a fait le choix de solutions équilibrées, dans un contexte qui demande sans cesse de l’agilité. Au Conseil du 15e arrondissement et au Conseil des Paris, vos élus ont porté la demande d’une étude d’impact sur les conséquences pour notre arrondissement du report de circulation avec la mise en place d’une « zone apaisée » au centre de Paris. Anne Hidalgo a rejeté cette demande ! Notre groupe a par ailleurs fait adopter à l’unanimité un voeu en soutien à la jeune Mila, harcelée et menacée. Un symbole et une victoire pour la liberté d’expression.
Une suggestion, une question, une réaction ? Ecrivez-nous !
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
La Ville du Quart d’Heure, voulue par Anne Hidalgo, devient chaque jour concrète à l’échelle de notre arrondissement. C’est tout le sens de la réforme portée par la Maire de Paris et votée au Conseil de Paris en juin : celle d’un véritable « big bang de la proximité », où l’arrondissement devient l’échelon de référence, pour une action publique de proximité. En matière d’accompagnement social d’abord, où une porte d’entrée unique sera mise en place dans le 15e arrondissement. Un lieu central, regroupant tous les acteurs du secteur médico-social, ouvrira bientôt ses portes place Adolphe Chérioux. Pour la propreté de nos rues, avec le renforcement des moyens financiers et matériels. Désormais les mairies d’arrondissement choisiront les axes prioritaires et horaires privilégiés. La Ville de Paris double les équipes « urgence propreté » et met en place un référent propreté dans chaque quartier en lien quotidien avec les acteurs locaux (commerçants, entreprises, syndics, gardiens, amicales de locataires…) Vote historique également : celui de la création de la police municipale à Paris. Plus de 100 agents déployés dans tous les quartiers du 15e, formés aux enjeux spécifiques de discrimination et harcèlement, assureront une présence rassurante 7 jours sur 7 et 24h/24, pour répondre à la demande de sécurité, de lutte contre les incivilités et respect du code de la route. Cette police municipale sera celle de la proximité, au plus près et à l’écoute des Parisiennes et Parisiens. Enfin, la Ville du Quart d’Heure est aussi celle qui s’appuie sur votre expertise du quotidien. C’est le sens du Budget Participatif : vous proposez vos idées, vous les votez et la Ville les réalise ! Pour cette nouvelle édition, 199 projets ont été déposés dans le 15e. C’est aussi le sens de la concertation menée dans le cadre du dispositif « Embellir votre quartier » pour les quartiers Emeriau/Zola, Violet/Commerce et Saint Lambert.
Anouch Toranian, Florian Sitbon, Julien Rippert, Isabelle Roy, Evelyne Boscheron, Fatiha Aggoune.
Groupe Ecologiste du 15e
La Mission d’information et d’évaluation (MIE) de la Seine de la Ville de Paris a rendu ses conclusions. Nous y avons porté une vision de la Seine où celle ci- est envisagée non pas comme un objet, un outil ou un élément de patrimoine mais comme un « commun », puissant et fragile à la fois, ayant vocation à être vecteur de transition écologique et à être protégé. Ainsi, la MIE préconise notamment l’arrêt d’implantation de nouvelles centrales à béton à Paris et d’extension de centrales existantes et recommande l’institution d’un nouvel adjoint au défenseur des droits en charge des droits de la nature, doté d’une capacité à ester en justice à la demande de tout intéressé pour préserver les intérêts de la Seine, de ses berges, de sa faune et de sa flore.
Notre société est de plus en plus marquée par la consommation de stupéfiants, dont le crack, une drogue parmi les moins chères et les plus dangereuses qui cause des ravages, en particulier chez les jeunes, et contribue à accroître la délinquance. A Paris, plusieurs milliers de toxicomanes se concentrent dans certains quartiers, devenus de véritables zones de non-droit, pourrissant la vie des riverains qui craignent pour leur sécurité en raison de la fixation des dealers, de la multiplication des agressions dans l’espace public, des dégradations, de la prostitution et de la mendicité agressive. En vingt ans, essentiellement pour des raisons idéologiques, aucune mesure significative n’a été prise par la Mairie de Paris pour lutter efficacement contre ce fléau, à l’exception de la création en 2016 d’une salle de shoot dans le 10e, au cœur d’un quartier résidentiel dense. Un échec, selon le dernier rapport de l’INSERM, une expérimentation qu’aucune autre grande ville française ne s’est hasardée à dupliquer, alors que les spécialistes recommandent de sortir les toxicomanes de la rue et de les prendre en charge médicalement, psychologiquement et socialement en milieu hospitalier ou dans des structures thérapeutiques adaptées, sur injonction de la justice le cas échéant. La dernière idée municipale en date, le regroupement des « crackers » dans un jardin du 18e arrondissement, s’est soldée par un fiasco. D’éviction en éviction, et faute de mesures durables, la situation n’a cessé de se dégrader. Bien que la corrélation entre la consommation de crack et la commission de délits soit désormais avérée, selon le rapport de l’INSERM, aucune politique répressive sérieuse n’a jamais été mise en œuvre. La lutte contre la drogue nécessite que police et justice renforcent le démantèlement des réseaux de dealers qui animent une véritable économie souterraine génèrant plus de trois milliards de profits. Il faut identifier les trafics, grâce à un réseau plus dense de caméras de vidéo-protection, en particulier devant les établissements scolaires et en renforçant la veille sur internet et les réseaux sociaux, déstabiliser les points de deal, multiplier les saisies des avoirs criminels et des armes, de plus en plus répandues, mais aussi développer les cellules de renseignement opérationnel et réactiver le plan parisien de lutte contre la drogue. C’est à ces conditions que l’on réussira à faire refluer le fléau de la drogue, qui contamine notre jeunesse. Encore faut-il avoir la volonté politique d’en faire une nouvelle priorité !
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Face à un regain de l’épidémie et la forte contagiosité du variant Delta, les perspectives d’une vaccination massive avec un été de mobilisation, offre l’espoir d’une liberté retrouvée. Le Président a fait le choix de solutions équilibrées, dans un contexte qui demande sans cesse de l’agilité. Au Conseil du 15e arrondissement et au Conseil des Paris, vos élus ont porté la demande d’une étude d’impact sur les conséquences pour notre arrondissement du report de circulation avec la mise en place d’une « zone apaisée » au centre de Paris. Anne Hidalgo a rejeté cette demande ! Notre groupe a par ailleurs fait adopter à l’unanimité un voeu en soutien à la jeune Mila, harcelée et menacée. Un symbole et une victoire pour la liberté d’expression.
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Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
La Ville du Quart d’Heure, voulue par Anne Hidalgo, devient chaque jour concrète à l’échelle de notre arrondissement. C’est tout le sens de la réforme portée par la Maire de Paris et votée au Conseil de Paris en juin : celle d’un véritable « big bang de la proximité », où l’arrondissement devient l’échelon de référence, pour une action publique de proximité. En matière d’accompagnement social d’abord, où une porte d’entrée unique sera mise en place dans le 15e arrondissement. Un lieu central, regroupant tous les acteurs du secteur médico-social, ouvrira bientôt ses portes place Adolphe Chérioux. Pour la propreté de nos rues, avec le renforcement des moyens financiers et matériels. Désormais les mairies d’arrondissement choisiront les axes prioritaires et horaires privilégiés. La Ville de Paris double les équipes « urgence propreté » et met en place un référent propreté dans chaque quartier en lien quotidien avec les acteurs locaux (commerçants, entreprises, syndics, gardiens, amicales de locataires…) Vote historique également : celui de la création de la police municipale à Paris. Plus de 100 agents déployés dans tous les quartiers du 15e, formés aux enjeux spécifiques de discrimination et harcèlement, assureront une présence rassurante 7 jours sur 7 et 24h/24, pour répondre à la demande de sécurité, de lutte contre les incivilités et respect du code de la route. Cette police municipale sera celle de la proximité, au plus près et à l’écoute des Parisiennes et Parisiens. Enfin, la Ville du Quart d’Heure est aussi celle qui s’appuie sur votre expertise du quotidien. C’est le sens du Budget Participatif : vous proposez vos idées, vous les votez et la Ville les réalise ! Pour cette nouvelle édition, 199 projets ont été déposés dans le 15e. C’est aussi le sens de la concertation menée dans le cadre du dispositif « Embellir votre quartier » pour les quartiers Emeriau/Zola, Violet/Commerce et Saint Lambert.
Anouch Toranian, Florian Sitbon, Julien Rippert, Isabelle Roy, Evelyne Boscheron, Fatiha Aggoune.
Groupe Ecologiste du 15e
La Mission d’information et d’évaluation (MIE) de la Seine de la Ville de Paris a rendu ses conclusions. Nous y avons porté une vision de la Seine où celle ci- est envisagée non pas comme un objet, un outil ou un élément de patrimoine mais comme un « commun », puissant et fragile à la fois, ayant vocation à être vecteur de transition écologique et à être protégé. Ainsi, la MIE préconise notamment l’arrêt d’implantation de nouvelles centrales à béton à Paris et d’extension de centrales existantes et recommande l’institution d’un nouvel adjoint au défenseur des droits en charge des droits de la nature, doté d’une capacité à ester en justice à la demande de tout intéressé pour préserver les intérêts de la Seine, de ses berges, de sa faune et de sa flore.
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Groupe Changer Paris
Le 19 mai a marqué une nouvelle étape dans la politique sanitaire conduite dans notre pays depuis plus de quinze mois, avec la réouverture des musées, théâtres, cinémas, équipements sportifs, mais aussi des commerces, particulièrement les bars et restaurants qui font l’attractivité de Paris. Parmi les mesures destinées à favoriser la reprise économique et à inciter nos concitoyens à consommer figure, comme à l’été 2020, l’installation de terrasses éphémères sur l’espace public, principalement sur des places de stationnement, accompagnée de la mise en place de jauges évoluant au fil des semaines jusqu’à la fin juin. Si l’on ne peut qu’être favorable au développement de lieux de partage et de convivialité de nos quartiers qui font le charme de Paris, la politique municipale de déploiement de ces terrasses éphémères ne peut qu’interroger. D’abord sur leur pérennisation éventuelle. Sont- elles implantées jusqu’à la fin de la pandémie, uniquement au printemps et l’été, ou auront-elles finalement vocation à être pérennisées ? De la réponse dépendent la mise en place d’un cahier des charges précis, notamment l’engagement des professionnels sur la sécurité des clients, l’entretien de leurs terrasses et la propreté de l’espace public, et le niveau de dépenses que les cafetiers et les restaurateurs ont envie d’engager, notamment afin de respecter un certain esthétisme, eux qui sont, depuis quinze mois, parmi les premières victimes économiques de la pandémie. Quid également de la redevance que nous ne souhaitons pas voir instaurée à la fin de l’été et que veut imposer la Mairie de Paris ? Sera-t-elle d’ailleurs symbolique ou plus conséquente, ayant alors vocation à compenser les pertes de recettes générées par la neutralisation des places de stationnement sur lesquelles sont implantées les terrasses ? Interrogation également sur le fragile équilibre entre activité économique et respect de la tranquillité des riverains. L’immense majorité des professionnels est respectueuse de la réglementation, mais l’envie des Parisiens de retrouver une vie sociale, tout comme le souhait ardent des cafetiers et restaurateurs de « faire du chiffre » pourraient inciter certains à densifier leurs terrasses plus que de raison et à prolonger les soirées au-delà du couvre-feu. Se posera alors la problématique du respect des règles du bien-vivre ensemble que seuls 80 agents municipaux auront la tâche de faire respecter dans la capitale, bien trop peu nombreux au regard des 9.800 autorisations de terrasses éphémères accordées par la Mairie centrale !
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Grâce à l’effort massif de vaccination, symbolisé par l’ouverture du centre du Parc des Expositions par Emmanuel Macron, le déconfinement a commencé ! Dans le 15e nous avons convaincu le conseil d’arrondissement de voter : La possibilité d’ouvrir les dimanches pour les commerçants de la rue du Commerce et des alentours ; La mise en place d’un nouveau règlement pour les terrasses éphémères qui permet de concilier activité économique et tranquillité des riverains, accompagné d’une baisse des taxes pour les restaurateurs et cafetiers. Nous avons porté haut nos valeurs, en faisant adopter : La création de parcours honorant les femmes qui ont fait Paris ; La proclamation de Paris « zone libre pour les personnes LGBTQIA+ » afin d’envoyer un message fort de solidarité à celles victimes de discriminations ailleurs en Europe.
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Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Depuis plus d’un an, sous l’impulsion de la Maire de Paris et des élu.e.s de notre majorité, la Ville anticipe, soutient, accompagne, s’adapte, et innove face à la crise. Elle souhaite désormais être un véritable partenaire du plan de relance pour lequel elle investit, elle-même, 1,4 milliard d’euros. Dans notre 15e, elle s’est mobilisée, avec l’ARS, pour ouvrir un centre de vaccination de très grande capacité. Implanté, au sein du parc des expositions de la Porte de Versailles, il nous permettra d’atteindre l’objectif de vacciner le maximum de Parisiennes et de Parisiens. Au cœur de cette crise sans précédent, vos élu.e.s de gauche se battent au quotidien pour faire évoluer le 15e et continuer de le rendre plus juste, plus social, plus écologique, plus démocratique. La transition du 15e se met en œuvre : panneaux photovoltaïques sur le toit du Gymnase Emile Antoine, végétalisation sur les boulevards Pasteur et Vaugirard, première coronapiste pérennisée quai d’Issy, poumon vert avec 17 nouveaux hectares d’espaces verts autour de la Tour Eiffel. Mais aussi, une réalisation rue Castagnary rassemblant des logements étudiants, un foyer de jeunes travailleurs, un foyer d’accueil pour les réfugiés, un centre de santé, une ressourcerie et le lancement, dans les quartiers Violet/Commerce, Emeriau/Zola et Saint- Lambert du programme participatif « Embellir votre quartier » permettant de réaliser l’ensemble des travaux simultanément afin de réduire la durée des nuisances pour les riverains. Très engagés pour la lutte contre les discriminations, nous avons déposé un vœu lors du conseil d’arrondissement du 15e demandant qu’à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la LGBT-phobie le 17 mai, la Mairie du 15e se pare du drapeau arc-en-ciel et qu’un réseau d’aide aux victimes soit mis en place. Nous regrettons que ce vœu ait été rejeté par les élus de la majorité du 15e. Ces 300 mots ne suffisent pas à tout vous décrire !
Retrouvez toutes nos actions et notre actualité : http://www.groupepec15-elusdegauche.paris
Groupe Ecologiste du 15e
Projet Tour Eiffel : Respections l’avis de l’Autorité Environnementale !
L’AE a rendu le 10 mars dernier un avis sur le projet Tour Eiffel relevant notamment qu’il semblait « accorder systématiquement la préférence pour les variantes se référant à l’esthétique du site au début du XXe siècle, le plus souvent au détriment des variantes plus végétales » et « que le projet devrait davantage s’inscrire dans une vision d’avenir prenant en compte le changement climatique ». Nous avons dans ce contexte déposé un vœu en arrondissement et au Conseil de Paris pour que ces alertes ne restent pas lettre morte et afin d’accroitre la place du végétal dans le projet et pour que Paris fasse des choix plus adaptés au changement climatique plutôt qu’au tourisme de masse ou à l’évènementiel. Nos vœux ont été adoptés. Nous resterons vigilants quant à leur mise en œuvre.
Retrouvez l’intégralité du rapport sur paris.fr.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
Le 19 mai a marqué une nouvelle étape dans la politique sanitaire conduite dans notre pays depuis plus de quinze mois, avec la réouverture des musées, théâtres, cinémas, équipements sportifs, mais aussi des commerces, particulièrement les bars et restaurants qui font l’attractivité de Paris. Parmi les mesures destinées à favoriser la reprise économique et à inciter nos concitoyens à consommer figure, comme à l’été 2020, l’installation de terrasses éphémères sur l’espace public, principalement sur des places de stationnement, accompagnée de la mise en place de jauges évoluant au fil des semaines jusqu’à la fin juin. Si l’on ne peut qu’être favorable au développement de lieux de partage et de convivialité de nos quartiers qui font le charme de Paris, la politique municipale de déploiement de ces terrasses éphémères ne peut qu’interroger. D’abord sur leur pérennisation éventuelle. Sont- elles implantées jusqu’à la fin de la pandémie, uniquement au printemps et l’été, ou auront-elles finalement vocation à être pérennisées ? De la réponse dépendent la mise en place d’un cahier des charges précis, notamment l’engagement des professionnels sur la sécurité des clients, l’entretien de leurs terrasses et la propreté de l’espace public, et le niveau de dépenses que les cafetiers et les restaurateurs ont envie d’engager, notamment afin de respecter un certain esthétisme, eux qui sont, depuis quinze mois, parmi les premières victimes économiques de la pandémie. Quid également de la redevance que nous ne souhaitons pas voir instaurée à la fin de l’été et que veut imposer la Mairie de Paris ? Sera-t-elle d’ailleurs symbolique ou plus conséquente, ayant alors vocation à compenser les pertes de recettes générées par la neutralisation des places de stationnement sur lesquelles sont implantées les terrasses ? Interrogation également sur le fragile équilibre entre activité économique et respect de la tranquillité des riverains. L’immense majorité des professionnels est respectueuse de la réglementation, mais l’envie des Parisiens de retrouver une vie sociale, tout comme le souhait ardent des cafetiers et restaurateurs de « faire du chiffre » pourraient inciter certains à densifier leurs terrasses plus que de raison et à prolonger les soirées au-delà du couvre-feu. Se posera alors la problématique du respect des règles du bien-vivre ensemble que seuls 80 agents municipaux auront la tâche de faire respecter dans la capitale, bien trop peu nombreux au regard des 9.800 autorisations de terrasses éphémères accordées par la Mairie centrale !
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Grâce à l’effort massif de vaccination, symbolisé par l’ouverture du centre du Parc des Expositions par Emmanuel Macron, le déconfinement a commencé ! Dans le 15e nous avons convaincu le conseil d’arrondissement de voter : La possibilité d’ouvrir les dimanches pour les commerçants de la rue du Commerce et des alentours ; La mise en place d’un nouveau règlement pour les terrasses éphémères qui permet de concilier activité économique et tranquillité des riverains, accompagné d’une baisse des taxes pour les restaurateurs et cafetiers. Nous avons porté haut nos valeurs, en faisant adopter : La création de parcours honorant les femmes qui ont fait Paris ; La proclamation de Paris « zone libre pour les personnes LGBTQIA+ » afin d’envoyer un message fort de solidarité à celles victimes de discriminations ailleurs en Europe.
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Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Depuis plus d’un an, sous l’impulsion de la Maire de Paris et des élu.e.s de notre majorité, la Ville anticipe, soutient, accompagne, s’adapte, et innove face à la crise. Elle souhaite désormais être un véritable partenaire du plan de relance pour lequel elle investit, elle-même, 1,4 milliard d’euros. Dans notre 15e, elle s’est mobilisée, avec l’ARS, pour ouvrir un centre de vaccination de très grande capacité. Implanté, au sein du parc des expositions de la Porte de Versailles, il nous permettra d’atteindre l’objectif de vacciner le maximum de Parisiennes et de Parisiens. Au cœur de cette crise sans précédent, vos élu.e.s de gauche se battent au quotidien pour faire évoluer le 15e et continuer de le rendre plus juste, plus social, plus écologique, plus démocratique. La transition du 15e se met en œuvre : panneaux photovoltaïques sur le toit du Gymnase Emile Antoine, végétalisation sur les boulevards Pasteur et Vaugirard, première coronapiste pérennisée quai d’Issy, poumon vert avec 17 nouveaux hectares d’espaces verts autour de la Tour Eiffel. Mais aussi, une réalisation rue Castagnary rassemblant des logements étudiants, un foyer de jeunes travailleurs, un foyer d’accueil pour les réfugiés, un centre de santé, une ressourcerie et le lancement, dans les quartiers Violet/Commerce, Emeriau/Zola et Saint- Lambert du programme participatif « Embellir votre quartier » permettant de réaliser l’ensemble des travaux simultanément afin de réduire la durée des nuisances pour les riverains. Très engagés pour la lutte contre les discriminations, nous avons déposé un vœu lors du conseil d’arrondissement du 15e demandant qu’à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la LGBT-phobie le 17 mai, la Mairie du 15e se pare du drapeau arc-en-ciel et qu’un réseau d’aide aux victimes soit mis en place. Nous regrettons que ce vœu ait été rejeté par les élus de la majorité du 15e. Ces 300 mots ne suffisent pas à tout vous décrire !
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Groupe Ecologiste du 15e
Projet Tour Eiffel : Respections l’avis de l’Autorité Environnementale !
L’AE a rendu le 10 mars dernier un avis sur le projet Tour Eiffel relevant notamment qu’il semblait « accorder systématiquement la préférence pour les variantes se référant à l’esthétique du site au début du XXe siècle, le plus souvent au détriment des variantes plus végétales » et « que le projet devrait davantage s’inscrire dans une vision d’avenir prenant en compte le changement climatique ». Nous avons dans ce contexte déposé un vœu en arrondissement et au Conseil de Paris pour que ces alertes ne restent pas lettre morte et afin d’accroitre la place du végétal dans le projet et pour que Paris fasse des choix plus adaptés au changement climatique plutôt qu’au tourisme de masse ou à l’évènementiel. Nos vœux ont été adoptés. Nous resterons vigilants quant à leur mise en œuvre.
Retrouvez l’intégralité du rapport sur paris.fr.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
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Groupe Changer Paris
Le temps d’un déchainement barbare, revanche de l’archaïsme sur la civilisation, où la part de la pulsion le dispute à la préméditation, l’effervescence des bandes d’adolescents à peine sortis de l’enfance s’est transposée dans notre arrondissement. Si le drame vécu par Yuriy a sidéré l’opinion, le phénomène des bandes à Paris – une cinquantaine recensée – a déjà causé de nombreuses victimes (10 morts depuis 2016) et met en cause des mineurs de plus en plus jeunes et violents. Seules des mesures fermes et concrètes empêcheront toute appropriation de l’espace public, souvent sur fond de trafics. Même si notre contrat local de sécurité a permis de dissuader de nombreux affrontements, la responsabilisation des parents, la réponse judiciaire et la présence policière doivent être largement consolidées, comme l’engagement des bailleurs sociaux, l’accompagnement éducatif et l’insertion professionnelle. Nous réclamons depuis des années la création à Paris d’une police municipale armée et chargée de missions de tranquillité publique, la multiplication des caméras de vidéo-protection qui ont une fois de plus fait la preuve de leur efficacité dans l’affaire Yuriy et davantage d’éducateurs spécialisés et de médiateurs dans un arrondissement qui devrait aussi bénéficier de la Politique de la Ville. La révision de notre politique pénale à l’égard des mineurs comme la répression du port d’armes et du trafic de drogue, l’instauration de peines-planchers pour les récidivistes, la suppression des réductions de peine quasi automatiques, la construction de 20.000 places de prison et de centres éducatifs fermés, le doublement des peines de travaux d’intérêt général, doivent être mis en œuvre dès maintenant. La sanction est la première des préventions et c’est pour n’avoir jamais été stoppés dans leur ascension dans la délinquance que les jeunes sombrent dans la criminalité, faute de quoi les efforts de tous seront réduits à néant.
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Engagé en politique pour chaque jour, écouter, agir, défendre vos intérêts au-delà des clivages politiques, notre groupe Indépendants et Progressistes Paris 15ème a, ces derniers mois, défendu ou obtenu :Un dispositif de collecte et de recyclage des masques à la Mairie, dans les écoles et les collèges ;La demande de soutien aux étudiants sur le plan psychologique et matériel en complément des aides de l’Etat ;L’étude d’un autre lieu pour implanter le Mur pour la Paix ;Le report de l’extension de la centrale Lafarge ; L’abandon du projet de ferme Aquaponique des bassins de Grenelle…
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Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
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Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Face à la crise, la Maire de Paris et vos élu.e.s de Gauche sont quotidiennement mobilisés :
soutien à la vitalité économique et culturelle, aides alimentaires, soutien psychologique, Plan Paris Boost emploi, soutien en faveur des étudiants, nouvelles pistes cyclables… La Ville a déployé tous les moyens nécessaires pour accompagner et développer la stratégie de vaccination des Parisiennes et des Parisiens. Dans le 15e, des centres de vaccination ont été installés à la mairie d’arrondissement et à l’institut Pasteur par la Ville de Paris. Parce que de fortes inégalités sociales d’accès à la vaccination demeurent avec la difficulté d’en faire bénéficier nos concitoyens les plus vulnérables, une campagne de vaccination soutenue et pro-active a été mise en place, notamment dans les quartiers populaires des Frères Voisin et des Perichaux. Portés par cette même ambition, la nuit de la solidarité a permis de recenser les personnes en situation de rue avec un questionnaire spécifique en lien avec le Covid. Portés par la volonté d’associer toujours plus nos concitoyens à l’élaboration de notre projets et de nos choix, votre voix sera entendue pour façonner le 15e de demain : Budget Participatif 2021, démarche « Embellir votre quartier », création de « Rues aux écoles », rénovation d’équipements sportifs (gymnase Rigoulot, piscine Blomet), végétalisation des boulevards Pasteur et Vaugirard, nouvel espace vert des Perichaux (+ de 1000 m2), nouveaux espaces de Coworking dans l’ancienne gare de Vaugirard, nouveaux logements sociaux et étudiants, réhabilitation du quartier Bargue-Falguière… Il en a fallu de la persévérance pour les obtenir, et pourtant ces 300 mots ne suffisent pas à tout vous décrire !
Alors, retrouvez toutes nos actions et notre actualité : http://www.groupepec15-elusdegauche.paris
Anouch Toranian, Florian Sitbon, Julien Rippert, Isabelle Roy, Evelyne Boscheron, Fatiha Aggoune.
Groupe Écologiste du 15e
Nous avons le plaisir de vous écrire pour la première fois depuis cette tribune municipale. Nous nous tenons à votre disposition pour échanger sur les enjeux locaux et faire avancer l’écologie, la solidarité et la démocratie dans notre arrondissement. Nous avions proposé, au conseil d’arrondissement de février, à l’occasion de la réforme du règlement intérieur, la création d’un droit de pétition pour permettre aux habitant.e.s du 15e de poser des questions au conseil. Si cette proposition a été rejetée par la majorité du 15e, nous nous engageons à faire vivre la démocratie locale et à rester le relai de mobilisations locales sociales ou écologistes comme nous avons pu le faire pour les riverains du quai de Javel ou de la Tour Eiffel. Retrouvez nos coordonnées sur le site Internet de la Mairie du 15e.
Retrouvez l’intégralité du rapport sur paris.fr.
Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
Elu.e.s écologistes de Paris 15e
Le temps d’un déchainement barbare, revanche de l’archaïsme sur la civilisation, où la part de la pulsion le dispute à la préméditation, l’effervescence des bandes d’adolescents à peine sortis de l’enfance s’est transposée dans notre arrondissement. Si le drame vécu par Yuriy a sidéré l’opinion, le phénomène des bandes à Paris – une cinquantaine recensée – a déjà causé de nombreuses victimes (10 morts depuis 2016) et met en cause des mineurs de plus en plus jeunes et violents. Seules des mesures fermes et concrètes empêcheront toute appropriation de l’espace public, souvent sur fond de trafics. Même si notre contrat local de sécurité a permis de dissuader de nombreux affrontements, la responsabilisation des parents, la réponse judiciaire et la présence policière doivent être largement consolidées, comme l’engagement des bailleurs sociaux, l’accompagnement éducatif et l’insertion professionnelle. Nous réclamons depuis des années la création à Paris d’une police municipale armée et chargée de missions de tranquillité publique, la multiplication des caméras de vidéo-protection qui ont une fois de plus fait la preuve de leur efficacité dans l’affaire Yuriy et davantage d’éducateurs spécialisés et de médiateurs dans un arrondissement qui devrait aussi bénéficier de la Politique de la Ville. La révision de notre politique pénale à l’égard des mineurs comme la répression du port d’armes et du trafic de drogue, l’instauration de peines-planchers pour les récidivistes, la suppression des réductions de peine quasi automatiques, la construction de 20.000 places de prison et de centres éducatifs fermés, le doublement des peines de travaux d’intérêt général, doivent être mis en œuvre dès maintenant. La sanction est la première des préventions et c’est pour n’avoir jamais été stoppés dans leur ascension dans la délinquance que les jeunes sombrent dans la criminalité, faute de quoi les efforts de tous seront réduits à néant.
Les élus du groupe Changer Paris
Groupe Indépendants et Progressistes
Engagé en politique pour chaque jour, écouter, agir, défendre vos intérêts au-delà des clivages politiques, notre groupe Indépendants et Progressistes Paris 15ème a, ces derniers mois, défendu ou obtenu :Un dispositif de collecte et de recyclage des masques à la Mairie, dans les écoles et les collèges ;La demande de soutien aux étudiants sur le plan psychologique et matériel en complément des aides de l’Etat ;L’étude d’un autre lieu pour implanter le Mur pour la Paix ;Le report de l’extension de la centrale Lafarge ; L’abandon du projet de ferme Aquaponique des bassins de Grenelle…
Une suggestion, une question, une réaction ? Ecrivez-nous !
Catherine Ibled - [catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]pngurevar.voyrq@cnevf.se[catherine.ibled puis paris.fr après le signe @]
David Amiel - [david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]qnivq.nzvry2@cnevf.se[david.amiel2 puis paris.fr après le signe @]
Fanta Berete - [fanta.berete puis paris.fr après le signe @]snagn.orergr@cnevf.se[fanta.berete puis paris.fr après le signe @]
Groupe Paris en commun - groupe des élu.e.s de gauche
Face à la crise, la Maire de Paris et vos élu.e.s de Gauche sont quotidiennement mobilisés :
soutien à la vitalité économique et culturelle, aides alimentaires, soutien psychologique, Plan Paris Boost emploi, soutien en faveur des étudiants, nouvelles pistes cyclables… La Ville a déployé tous les moyens nécessaires pour accompagner et développer la stratégie de vaccination des Parisiennes et des Parisiens. Dans le 15e, des centres de vaccination ont été installés à la mairie d’arrondissement et à l’institut Pasteur par la Ville de Paris. Parce que de fortes inégalités sociales d’accès à la vaccination demeurent avec la difficulté d’en faire bénéficier nos concitoyens les plus vulnérables, une campagne de vaccination soutenue et pro-active a été mise en place, notamment dans les quartiers populaires des Frères Voisin et des Perichaux. Portés par cette même ambition, la nuit de la solidarité a permis de recenser les personnes en situation de rue avec un questionnaire spécifique en lien avec le Covid. Portés par la volonté d’associer toujours plus nos concitoyens à l’élaboration de notre projets et de nos choix, votre voix sera entendue pour façonner le 15e de demain : Budget Participatif 2021, démarche « Embellir votre quartier », création de « Rues aux écoles », rénovation d’équipements sportifs (gymnase Rigoulot, piscine Blomet), végétalisation des boulevards Pasteur et Vaugirard, nouvel espace vert des Perichaux (+ de 1000 m2), nouveaux espaces de Coworking dans l’ancienne gare de Vaugirard, nouveaux logements sociaux et étudiants, réhabilitation du quartier Bargue-Falguière… Il en a fallu de la persévérance pour les obtenir, et pourtant ces 300 mots ne suffisent pas à tout vous décrire !
Alors, retrouvez toutes nos actions et notre actualité : http://www.groupepec15-elusdegauche.paris
Anouch Toranian, Florian Sitbon, Julien Rippert, Isabelle Roy, Evelyne Boscheron, Fatiha Aggoune.
Groupe Écologiste du 15e
Nous avons le plaisir de vous écrire pour la première fois depuis cette tribune municipale. Nous nous tenons à votre disposition pour échanger sur les enjeux locaux et faire avancer l’écologie, la solidarité et la démocratie dans notre arrondissement. Nous avions proposé, au conseil d’arrondissement de février, à l’occasion de la réforme du règlement intérieur, la création d’un droit de pétition pour permettre aux habitant.e.s du 15e de poser des questions au conseil. Si cette proposition a été rejetée par la majorité du 15e, nous nous engageons à faire vivre la démocratie locale et à rester le relai de mobilisations locales sociales ou écologistes comme nous avons pu le faire pour les riverains du quai de Javel ou de la Tour Eiffel. Retrouvez nos coordonnées sur le site Internet de la Mairie du 15e.
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Aminata Niakate - [aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]nzvangn.avnxngr@cnevf.se[aminata.niakate puis paris.fr après le signe @]
Thibaut Bragé - thibaut.bragé@paris.fr[thibaut.brag%c3%a9 puis paris.fr après le signe @]
Arthur Wolff - [arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]neguhe.jbyss@cnevf.se[arthur.wolff puis paris.fr après le signe @]
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